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Ressources sur l'autonomie protéique (173)

Les dossiers thématiques

Les bovins lait En France, la ration des bovins lait est très majoritairement composée d'aliments produits sur l'exploitation. Avec 70 % d'autonomie protéique en moyenne, les élevages français de vaches laitières consomment chaque année environ un million de tonnes de tourteau de soja. Les systèmes maïs-soja ont une ... Consultez ce dossier Les bovins viandes Les élevages de bovins allaitants français ont en moyenne 86 % d'autonomie protéique. Un très bon niveau d'autonomie obtenue en valorisant l'herbe des prairies. Consultez ce dossier Les ovins lait Pour développer l'autonomie protéique, les élevages ovins laitiers peuvent chercher à produire plus de ressources protéiques ou de fourrages, mieux valoriser l'herbe ou adapter la conduite du troupeau. Actuellement, l'autonomie moyenne des élevages de brebis laitières est de 68 % en France. Consultez ce dossier Les ovins viande Basant leur alimentation sur l'herbe pâturée, les ovins allaitants ont une autonomie protéique moyenne de 83 %. Ils peuvent néanmoins améliorer leur autonomie en implantant des légumineuses et en valorisant l'herbe à toutes les étapes de l'élevage. Consultez ce dossier Les caprins Avec seulement 47 % d'autonomie protéique en moyenne, les élevages caprins français ont encore des marges de progrès pour produire eux-mêmes les protéines végétales consommées par les chèvres laitières. Consultez ce dossier Légumineuses fourragères Grâce à leur capacité à capter l'azote atmosphérique de l'air, les légumineuses sont riches en protéines. Cultivés seuls ou en association, les luzernes, trèfles ou sainfoins sont les atouts des éleveurs pour retrouver de l'autonomie protéique. Consultez ce dossier Mélanges céréales-protéagineux Associer dans les champs céréales et protéagineux permet d'associer énergies et protéines dans l'alimentation. Les mélanges céréales-protéagineux couvrent rapidement les sols et s'adaptent aux conditions climatiques. Les méteils peuvent être récoltés sous forme de fourrage ou de grain. Consultez ce dossier Conduite du troupeau En calant les besoins des animaux au moment où les ressources fourragères sont les plus disponibles, on peut réduire les besoins en complémentation. De même, limiter les UGB improductives réduit les besoins en surfaces ou en alimentation. Consultez ce dossier Récolte et conservation Une récolte des fourrages au bon moment et une conservation optimale permet de bénéficier des richesses protéiques des fourrages toute l'année. L'herbe et les fourrages peuvent se conserver sous forme de foin, d'enrubannage ou d'ensilage. Les fourrages frais peuvent aussi être amenés sous forme d'affou... Consultez ce dossier Herbe et prairies L'herbe est un des premiers leviers à actionner pour améliorer l’autonomie protéique des élevages de ruminants. Ce fourrage est abondant, équilibré et peu coûteux quand il est pâturé. Avec 12 à 18 % de matière azotée totale, l’herbe des prairies est naturellement équilibrée pour l’alimentation des ruminants. ... Consultez ce dossier Pâturage et parcours L'herbe pâturée est la ressource alimentaire la plus évidente et naturelle des bovins, ovins et caprins mais aussi la plus économique à produire et récolter. Consultez ce dossier Diversification des ressources fourragères De nombreuses ressources fourragères peuvent être mobilisées par les éleveurs pour diversifier l’alimentation du troupeau et diminuer les coûts de production. Parmi les ressources fourragères qui permettent de gagner en autonomie fourragère, notons les mélanges ou cultures associées, les légumineus... Consultez ce dossier Protéagineux et tourteaux Les matières riches en protéines complètent utilement les rations des ruminants, laitiers surtout. Produits localement, les protéagineux (pois, féverole, lupin) ou les tourteaux de colza, tournesol ou soja permettent d'équilibrer les rations des troupeaux en protégeant la souveraineté aliment... Consultez ce dossier Mutualisation et relocalisation Mutualiser ses moyens de production permet de réduire les coûts et partager les connaissances. En s'approvisionnant localement en matières végétales riches en protéines, les élevages français contribuent au développement de la souveraineté nationale. Consultez ce dossier

Témoignages (387)

Une ration mélangée, de la betterave et des couverts à pâturer pour le troupeau ovin
Une ration mélangée, de la betterave et des couverts à pâturer pour le troupeau ovin vidéo Arnaud Vanhoutte, éleveur de 900 brebis allaitantes dans l’Aisne, a mis en place un mélange complet réalisé en prestation de service par Tereos pour augmenter son autonomie protéique. Cette ration équilibrée à base d’ensilage d’herbe et de maïs, de pulpe surpressé, d’orge et de drêche de blé valorise les productions de l’exploitation. Cette ration complète les betteraves fourragères, l’herbe et le pâturage des couverts. En plus du gain économique, Arnaud a gagné en temps de travail. Cap Protéines
02 - Aisne Diversification des ressources fourragères
Au Gaec du Roudon, des fauches précoces et un mélange multi-espèce pour remplacer le tourteau
Au Gaec du Roudon, des fauches précoces et un mélange multi-espèce pour remplacer le tourteau vidéo A l’installation de Julien Thomas, le Gaec du Roudon, dans l’Allier, a pris la décision de récolter une partie de leurs fourrages plus tôt sous forme d’ensilage ou d’enrubannage. Auparavant, le système tout foin ne permettait pas d’avoir suffisamment de stocks et coûtait cher en tourteau pour équilibrer les rations. Julien a également été séduit par les prairies multi-espèces où six hectares sont implantés. Cap Protéines
03 - Allier Récolte et conservation Herbe et prairies
Le mélange de vesce, avoine et orge aplatie pour engraisser les agneaux et ne plus acheter d’aliment
Le mélange de vesce, avoine et orge aplatie pour engraisser les agneaux et ne plus acheter d’aliment vidéo Après avoir essayé de produire des pois chiches dans les collines sèches des Alpes-de-Haute-Provence, Cédric Breissand produit son mélange de vesce, avoine et orge aplatie pour engraisser les agneaux en 130 jours. En plus de baisser le coût d’alimentation de 22 à 15 euros par agneau, cette autonomie en aliment est une fierté que l’éleveur ovin revendique auprès de ses clients en vente directe. « On n’achète plus que le sel et les camions ne viennent plus livrer l’aliment sur l’exploitation. » Cap Protéines
04 - Alpes de Hautes-Provence Mélanges céréales-protéagineux
Le séchage en grange pour une meilleure autonomie fourragère
Le séchage en grange pour une meilleure autonomie fourragère vidéo Jean-Baptiste Martin, éleveur de brebis laitière dans les montagnes sèches des Hautes-Alpes, cherche au maximum l’autonomie. Le Gaec Eïbans s’est doté d’un système de séchage en grange pour pouvoir aller chercher de l’herbe tôt au printemps et tard en automne. Pour cet élevage situé à 1 300 mètres d’altitude, le séchage en grange agrandit la fenêtre de fauche. Les fourrages ont énormément gagné en qualité et en appétence du fourrage. Cap Protéines
05 - Hautes-Alpes Récolte et conservation
Un système repensé pour concilier agrandissement et autonomie alimentaire
Un système repensé pour concilier agrandissement et autonomie alimentaire vidéo En quête d’autonomie alimentaire pour son troupeau bovin allaitant de 120 mères, Jérôme Vaude, exploitant dans les Ardennes, a mis en œuvre différents leviers pour adapter son système de polyculture-élevage : réduction du chargement, réduction de la part d’ensilage de maïs, récolte d’ensilage d’herbe, mise en place de pâturage tournant et diversification fourragère en implantant des méteils, luzerne, trèfle… Cap Protéines
08 - Ardennes Mélanges céréales-protéagineux Herbe et prairies Pâturage et parcours
Des prairies riches en trèfle blanc et violet pour les chèvres et les brebis laitières
Des prairies riches en trèfle blanc et violet pour les chèvres laitières et les brebis allaitantes vidéo Dans l'Aveyron, Germain et Virginie Albespy élèvent 300 chèvres et 130 brebis viande sur 68 hectares. Si la présence de maïs ensilage permet de sécuriser l’autonomie en fourrage grossier, l'autonomie en protéine n’est pas encore atteinte. La principale difficulté reste le sol acide et sableux du Ségala, peu adapté à la culture de la luzerne. Alors, le couple d’éleveurs adapte ses prairies à l'aide de mélanges multi-espèces qui placent le trèfle blanc et violet au centre de l'équation. Cap Protéines
12 - Aveyron Légumineuses fourragères
Séchage en grange, mieux maîtriser les coûts
Séchage en grange, mieux maîtriser les coûts vidéo Fabien Molinier est éleveur de brebis laitière en agriculture biologique dans l’Aveyron. Chez lui, pas de course à la quantité de lait produit. Depuis 10 ans, il a arrêté le tourteau et ne travaille qu’avec du foin et des céréales. Grâce au séchage en grange, l’éleveur peut se targuer d’avoir une très bonne qualité de fourrage. Un virage qui, cumulé à une bonne maîtrise du pâturage, lui a permis de maîtriser ses coûts. Cap Protéines
12 - Aveyron Récolte et conservation
Pâturage tournant : s’adapter jour après jour
Pâturage tournant : s’adapter jour après jour vidéo Dans l’Aveyron, Pierre-Henri Lacombe élève 40 vaches laitières bios sur 66 hectares. L’éleveur suit le cycle de l’herbe et découpe les 25 hectares accessibles autour de la ferme en une petite trentaine de paddocks pour faire du pâturage tournant. L’herbe étant naturellement équilibrée, peu de concentrés sont achetés. Seules 4 à 5 tonnes de correcteurs azotés ou de soja bio sont acheté chaque année pour complémenter le maïs lors des trois mois d’hiver. Cap Protéines
12 - Aveyron Pâturage et parcours
Un pâturage dynamique et des dérobées pour une autonomie protéique
Un pâturage dynamique et des dérobées pour une autonomie protéique vidéo Dans le Calvados, Emmanuel Letellier élève 70 vaches laitières sur 115 hectares pour produire 457 000 litres de lait. Il cherche à produire des protéines à stocker pour l’hiver et à valoriser au maximum le pâturage en été. Il s’appuie pour cela sur les légumineuses, les trèfles en particulier, et sur le pâturage dynamique, piloté à l’œil ou à l’herbomètre. Il profite aussi de culture de dérobés (ray-grass italien, trèfles et vesce) entre les blés et le maïs. Cap Protéines
14 - Calvados Légumineuses fourragères Pâturage et parcours Diversification des ressources fourragères
Le séchage en grange pour un fourrage et du cantal de qualité
Le séchage en grange pour un fourrage et du cantal de qualité vidéo Grace au séchage en grange, le Gaec des Aubépines dans le Cantal récolte le « tourteau d’herbe », un fourrage de qualité qui leurs permets de respecter le cahier des charges de l’AOP cantal et d’obtenir les plus-values « lait cru » et « tout foin ». Par rapport à un système équivalent séchant le foin au sol, l’économie de concentré est estimée à 25 tonnes par an pour cette exploitation. Cap Protéines
15 - Cantal Récolte et conservation
Avec 150 vaches bio, du soja et de la féverole toastée localement
Avec 150 vaches bio, du soja et de la féverole toastée localement vidéo En Charente, le Gaec de la Grande Dennerie élève 150 vaches laitières sur 310 hectares. Avec le passage en bio en 2019, l’élevage est passé d’une ration à dominante maïs à une ration à dominante herbe. Pour compléter le pâturage tournant dynamique, l’enrubannage de luzerne ou de prairie ou l’ensilage de méteil ou de sorgho, les quatre associés font toaster leur soja et leur féverole par le toasteur mobile de Pasquier Vgt’al. Cap Protéines
16 - Charente Protéagineux et Tourteaux
Pâturage des couverts végétaux en système céréalier bio
Pâturage des couverts végétaux en système céréalier bio vidéo Patrick Forget et son épouse élèvent une troupe ovine de 500 brebis sur une ferme céréalière bio de Charente-Maritime. Une opportunité pour consommer les couverts et pour valoriser les luzernes. Les brebis consomment les couverts végétaux des 130 hectares de l’exploitation et des 350 ha d’un Gaec voisin. « Il n’y pas de broyeur à mettre derrière et pas de mauvaises graines », apprécie l’agriculteur. Les brebis consomment aussi de la fèverole et du trèfle qui pousse sous couvert de céréales. Cap Protéines
17 - Charente-Maritime Légumineuses fourragères Protéagineux et Tourteaux Mutualisation et relocalisation
François Dubois cultive l'autonomie protéique à la ferme
François Dubois cultive l'autonomie protéique à la ferme vidéo François Dubois élève des Charolais à Blet dans le Cher. Son système en bio l'amène à acheter le moins possible à l'extérieur : il est autonome à 92 %. Pour assurer la part protéique dans la ration, il cultive de la luzerne qu'il coupe précocement en enrubannage. La double période de vêlage permet de mieux s'organiser et d'étaler le travail de soins aux animaux. La sortie des animaux est ainsi plus étalée dans le temps et les ventes mieux réparties. Cap Protéines
18 - Cher Conduite du troupeau Légumineuses fourragères
Fauche précoce et méteils pour améliorer la valeur en protéine des fourrages
Fauche précoce et méteils pour améliorer la valeur en protéine des fourrages vidéo En Corrèze, le Gaec Aubignac élève 56 vaches Limousines et leurs suites sur une superficie de 100 hectares. L’élevage cherche à produire de la protéine par ses fourrages pour équilibrer la ration hivernale des mères comprenant de l’ensilage de maïs. Pour cela, il s’appuie sur la mise en place de prairies multi-espèces et de méteils fourragers. Une fauche précoce des premières exploitations et la valorisation des coupes suivantes lui permettent d’assurer une autonomie en protéine de 89 %. Cap Protéines
19 - Corrèze Récolte et conservation Mélanges céréales-protéagineux
Deux périodes de vêlage et des ressources diversifiées pour couvrir les besoins du cheptel
Deux périodes de vêlage et des ressources diversifiées pour couvrir les besoins du cheptel vidéo Daniel et Romain Jarlot du Gaec du Petit Nanteux, en Côte d’Or, préfèrent avoir deux périodes de vêlage. Les vaches vêlant au printemps vont valoriser l’herbe de fin d’automne et de printemps et nécessiteront des apports alimentaires et protéiques moins importants sur la période hivernale. Autonome en protéines à 96 %, l’exploitation pratique le pâturage tournant, cultive de la luzerne, fabrique ses aliments à la ferme et a mis en place un ensilage de méteil. Cap Protéines
21 - Côte-d'Or Conduite du troupeau Mélanges céréales-protéagineux Herbe et prairies
L'implantation de chicorée et de plantain dans les prairies temporaires
L'implantation de chicorée et de plantain dans les prairies temporaires vidéo L’implantation de chicorée et de plantain dans les prairies multi espèces permettent d’améliorer la production fourragère, notamment en période de sécheresse. Cela permet aussi d’améliorer la qualité de ses fourrages, plus riches en protéines, et donc de limiter la consommation de concentrés. L’EARL des Monts de Lascaux teste ces espèces pour ces vaches et taureaux de race limousine. Cap Protéines
23 - Creuse Herbe et prairies
Autonomie protéique et pâturage des chèvres
Autonomie protéique et pâturage des chèvres vidéo Au Gaec des Cabrioles en Dordogne, Stéphanie Kaminski et Jean-Paul Predignac élèvent 150 chèvres bio sur 42 hectares. Défenseurs du pâturage des chèvres, ils produisent des fourrages appétents à base de luzerne, trèfle, sainfoin, vesce, sorgho ou herbe. Selon les saisons, les chèvres y pâturent 6 à 9 heures par jour au fil avant. Pour produire 900 kilos de lait par chèvre et par an, le Gaec distribue aussi un méteil grain à base de triticale, avoine, pois et féverole, à 17 à 18 % de MAT. Cap Protéines
24 - Dordogne Légumineuses fourragères Mélanges céréales-protéagineux Pâturage et parcours Diversification des ressources fourragères
Foin de luzerne, céréales et pâturage tournant pour un lait et des fromages 100 % locales
Foin de luzerne, céréales et pâturage tournant pour un lait et des fromages 100 % locales vidéo À Alixan dans la Drôme, l’EARL les Pampilles cultive 14 hectares de luzerne, 6 hectares de prairies multi-espèces et 20 hectares de maïs, orge et blé pour nourrir les 120 chèvres saanen. L’objectif est d’être autonome en aliment. La luzerne est récoltée avec beaucoup de précaution pour garder des feuilles et une MAT de 18 à 20 % de MAT. Les chèvres pâturent au fil avant de fin février à fin septembre. Grace à l’irrigation, l’herbe reste verte et les éleveurs alternent pâture et fauche. Cap Protéines
26 - Drôme Légumineuses fourragères Pâturage et parcours
Des parcours valorisés pour faire des économies d’aliments
Des parcours valorisés pour faire des économies d’aliments vidéo Dans le Gard, Caroline et Alain Compan voient bien l’intérêt des parcours pour leur troupeau de 390 brebis laitières. En plus de leurs 110 ha de SAU où ils cultivent luzerne, sainfoin, herbe ou céréales, ils utilisent 270 hectares de parcours qui composent 40 % de l’ingestion des brebis en lactation de la mi-mai à août et couvrent 70 % des besoins à l’entretien en automne-hiver. « Les brebis se régalent et ne rentrent pas avec la faim après avoir pâturé les parcours », apprécie Alain Compan. Cap Protéines
30 - Gard Pâturage et parcours
« Avec le pâturage tournant dynamique, on réapprend à cultiver l’herbe »
« Avec le pâturage tournant dynamique, on réapprend à cultiver l’herbe » vidéo En Gironde, le Gaec Agréé de Rival, exploitation en polyculture élevage en système veau sous les 75 mères limousines, a mis en place le pâturage tournant dynamique depuis 2018. Michael Massignani nous donne son témoignage sur cette pratique : « nous avons retrouvé du trèfle et de l’autonomie. Cela se traduit par des économies de concentrés et de fourrages avec un pâturage allongé d’un mois. Il a fallu accepter de lâcher les vaches plus tôt et bien organiser les paddocks. » Cap Protéines
33 - Gironde Pâturage et parcours
Vers l’autonomie protéique des brebis laitières bretonnes bios
« Brebis laitières : la gestion de l’herbe, pilier de l’autonomie protéique » vidéo Éleveur de brebis laitières en bio, Michel Rozé mise sur la gestion du stock et la qualité de son herbe pour renforcer l’autonomie protéique de l’exploitation. Il cultive des prairies multi-espèces riches en légumineuses tout en étant exigeant sur la récolte d'enrubannage ou de foin. Une mélangeuse permet d’optimiser la valeur alimentaire de la ration tout en économisant les correcteurs azotés. Avec environ 200 mères sur une SAU de 45 ha, Michel atteint une autonomie protéique de 83 %. Cap Protéines
35 - Ille-et-Vilaine Légumineuses fourragères Récolte et conservation Herbe et prairies
Des tourteaux de colza fermiers pour les chèvres
Des tourteaux de colza fermiers pour les chèvres vidéo Jérémie Chipault, éleveur fromager et laitier sur la ferme caprine de Diou dans l’Indre, utilise du tourteau de colza fermier depuis 2008. Il n'achète plus de concentré du commerce, hormis des minéraux. Avec le tourteau de colza, il respecte le cahier des charges AOP selles-sur-cher et valençay. Il connait la composition des aliments qu’il donne à ses chèvres, ce qui rassure sa clientèle. Il améliore ses taux et diminue son empreinte carbone et son coût alimentaire. Cap Protéines
36 - Indre Protéagineux et Tourteaux
« Une symbiose entre les ateliers végétales et animales »
« Une symbiose entre les ateliers végétales et animales » vidéo Dans l’Indre, Gwen Parry élève 450 brebis allaitantes sans acheter d’aliments à l’extérieur grâce à 180 hectares, tout en bio. L’éleveur veut créer « une symbiose entre les ateliers de production végétale et l’atelier animal ». En plus des luzernes et des trèfles semés au printemps, il cultive de la féverole et du pois. En ingérant beaucoup de fourrages riches en protéines, les brebis ont une meilleure rumination, une meilleure santé et une production plus importante de lait pour les agneaux. Cap Protéines
36 - Indre Légumineuses fourragères Protéagineux et Tourteaux
Légumineuses, méteil et pâturage pour plus d’autonomie protéique du troupeau allaitant
Légumineuses, méteil et pâturage pour plus d’autonomie protéique du troupeau allaitant vidéo En Haute-Loire, Bruno Ramousse élève 48 vaches allaitantes sur 78 hectares d’herbe, de céréales et de lentilles. Il a réduit le cheptel pour être autonome en fourrage à 100 % et en protéines à 92 %. Ses prairies multi-espèces sont riches en légumineuses. Il sème ses prairies sous couvert de méteil pour une implantation et une rotation plus rapide. Il compte aussi sur la luzerne enrubannée pour engraisser ses animaux. Cap Protéines
43 - Haute-Loire Légumineuses fourragères Mélanges céréales-protéagineux Pâturage et parcours
Associer autonomie maximale et résultats économiques
Associer autonomie maximale et résultats économiques vidéo En Loire-Atlantique, le Gaec des Verdais produit un million de litres de lait avec 130 vaches et quatre associés. Pour Antoine Lebreton, « le Gaec vise une autonomie maximale grâce à des fourrages récoltées de très bonnes qualités ». Pour cela, il privilégie la qualité à la quantité en ensilant l’herbe tôt et en récoltant une partie du maïs sous forme d’épi. Le Gaec compte aussi sur le pâturage tournant et sur la production de luzerne déshydratée et de féverole extrudée. Cap Protéines
44 - Loire-Atlantique Légumineuses fourragères Herbe et prairies Pâturage et parcours
96 % d'autonomie protéique avec du pois, de la luzerne et un troupeau productif
96 % d'autonomie protéique avec du pois, de la luzerne et un troupeau productif vidéo Yoann et ses associés sont naisseurs-engraisseurs. Ils recherchent l’autonomie protéique et alimentaire pour plusieurs raisons : se dégager des revenus, être moins dépendants de l’extérieur, répondre aux attentes des consommateurs et ne pas acheter de concentrés et correcteurs azotés. Ils y parviennent grâce à leur travail sur leurs cultures (pois de printemps et luzerne), leurs prairies (trèfle) et leur troupeau (choix génétiques, productivité, âge au premier vêlage). Cap Protéines
44 - Loire-Atlantique Conduite du troupeau Légumineuses fourragères Protéagineux et Tourteaux
Des brebis en plein air intégrale comme en Nouvelle-Zélande
Des brebis en plein air intégrale comme en Nouvelle-Zélande vidéo Dans le Lot-et-Garonne, Jérôme et Joël Mandavy sont devenus des spécialistes de l’herbe et du pâturage. Les brebis sont calées sur le cycle de l’herbe avec des agnelages en février-mars. En hiver, un peu de foin est mis directement au sol (bale grazing). Ensuite, grâce à des clôtures efficaces et un réseau d’abreuvoirs, les brebis bio en plein air intégral changent de paddocks tous les jours. Un soin particulier est apporté aux prairies riches en luzernes, lotiers, chicorées ou trèfles blancs. Cap Protéines
47 - Lot-et-Garonne Légumineuses fourragères Herbe et prairies Pâturage et parcours
Davantage de surfaces pâturées pour maîtriser les charges et gagner en autonomie
Davantage de surfaces pâturées pour maîtriser les charges et gagner en autonomie vidéo En passant en bio, la ferme des Cazelles a modifié son assolement en augmentant les surfaces pâturées par les vaches allaitantes. Autour des bâtiments, des paddocks de 40 ares sont pâturés pendant deux à trois jours par les 45 mères Blondes d’Aquitaine. En plus de ce pâturage tournant dynamique, la ferme a entrepris l’implantation de prairies multi-espèces et la culture de méteil et de luzerne dans un soucis de maîtrise des charges et d’autonomie fourragère et protéique. Cap Protéines
47 - Lot-et-Garonne Légumineuses fourragères Mélanges céréales-protéagineux Herbe et prairies Pâturage et parcours
Conforter les prairies naturelles et temporaires pour les Aubracs de Lozère
Conforter les prairies naturelles et temporaires pour les Aubracs de Lozère vidéo En Lozère, le Gaec de Chantegrenouille élève 80 vaches allaitantes de race Aubrac sur 160 hectares, tout en herbe. Vincent Granier explique qu’ils cherchent de l’autonomie protéique aux vues des coûts des intrants et des matières premières qui augmentent. Sur leurs prairies naturelles équilibrées entre graminées et légumineuses, ils pratiquent le pâturage tournant avec des petits lots d’animaux. Sur les prairies temporaires, le Gaec veut améliorer l’herbe en ajoutant des trèfles violets. Cap Protéines
48 - Lozère Herbe et prairies
Gestion et valorisation du pâturage dans un élevage de brebis laitières de Lozère
Gestion et valorisation du pâturage dans un élevage de brebis laitières de Lozère vidéo En Lozère, Caroline et Charles André élèvent 434 brebis laitières sur 147 hectares. Si la principale raison de leur autonomie en protéines résulte des fourrages ventilés à base de légumineuses, le Gaec Salles André mise également sur le pâturage d’un mélange vesce-avoine, de prairies multi-espèces et des parcours durant les trois derniers mois de traite. Cap Protéines
48 - Lozère Légumineuses fourragères Récolte et conservation Herbe et prairies Pâturage et parcours
Moins de charges et plus d’autonomie avec des agneaux engraissés à l’herbe et une bonne gestion de la prairie
Moins de charges et plus d’autonomie avec des agneaux engraissés à l’herbe et une bonne gestion de la prairi