Accédez à l'ensemble des ressources documentaires du projet Cap Protéines
Cap Protéines
Ressources sur l'autonomie protéique (173)
Les dossiers thématiques
Les bovins lait
En France, la ration des bovins lait est très majoritairement composée d'aliments produits sur l'exploitation. Avec 70 % d'autonomie protéique en moyenne, les élevages français de vaches laitières consomment chaque année environ un million de tonnes de tourteau de soja. Les systèmes maïs-soja ont une ...
Consultez ce dossier
Les bovins viandes
Les élevages de bovins allaitants français ont en moyenne 86 % d'autonomie protéique. Un très bon niveau d'autonomie obtenue en valorisant l'herbe des prairies.
Consultez ce dossier
Les ovins lait
Pour développer l'autonomie protéique, les élevages ovins laitiers peuvent chercher à produire plus de ressources protéiques ou de fourrages, mieux valoriser l'herbe ou adapter la conduite du troupeau. Actuellement, l'autonomie moyenne des élevages de brebis laitières est de 68 % en France.
Consultez ce dossier
Les ovins viande
Basant leur alimentation sur l'herbe pâturée, les ovins allaitants ont une autonomie protéique moyenne de 83 %. Ils peuvent néanmoins améliorer leur autonomie en implantant des légumineuses et en valorisant l'herbe à toutes les étapes de l'élevage.
Consultez ce dossier
Les caprins
Avec seulement 47 % d'autonomie protéique en moyenne, les élevages caprins français ont encore des marges de progrès pour produire eux-mêmes les protéines végétales consommées par les chèvres laitières.
Consultez ce dossier
Légumineuses fourragères
Grâce à leur capacité à capter l'azote atmosphérique de l'air, les légumineuses sont riches en protéines. Cultivés seuls ou en association, les luzernes, trèfles ou sainfoins sont les atouts des éleveurs pour retrouver de l'autonomie protéique.
Consultez ce dossier
Mélanges céréales-protéagineux
Associer dans les champs céréales et protéagineux permet d'associer énergies et protéines dans l'alimentation. Les mélanges céréales-protéagineux couvrent rapidement les sols et s'adaptent aux conditions climatiques. Les méteils peuvent être récoltés sous forme de fourrage ou de grain.
Consultez ce dossier
Conduite du troupeau
En calant les besoins des animaux au moment où les ressources fourragères sont les plus disponibles, on peut réduire les besoins en complémentation. De même, limiter les UGB improductives réduit les besoins en surfaces ou en alimentation.
Consultez ce dossier
Récolte et conservation
Une récolte des fourrages au bon moment et une conservation optimale permet de bénéficier des richesses protéiques des fourrages toute l'année. L'herbe et les fourrages peuvent se conserver sous forme de foin, d'enrubannage ou d'ensilage. Les fourrages frais peuvent aussi être amenés sous forme d'affou...
Consultez ce dossier
Herbe et prairies
L'herbe est un des premiers leviers à actionner pour améliorer l’autonomie protéique des élevages de ruminants. Ce fourrage est abondant, équilibré et peu coûteux quand il est pâturé. Avec 12 à 18 % de matière azotée totale, l’herbe des prairies est naturellement équilibrée pour l’alimentation des ruminants. ...
Consultez ce dossier
Pâturage et parcours
L'herbe pâturée est la ressource alimentaire la plus évidente et naturelle des bovins,
ovins et caprins mais aussi la plus économique à produire et récolter.
Consultez ce dossier
Diversification des ressources fourragères
De nombreuses ressources fourragères peuvent être mobilisées par les éleveurs pour diversifier l’alimentation du troupeau et diminuer les coûts de production. Parmi les ressources fourragères qui permettent de gagner en autonomie fourragère, notons les mélanges ou cultures associées, les légumineus...
Consultez ce dossier
Protéagineux et tourteaux
Les matières riches en protéines complètent utilement les rations des ruminants, laitiers surtout. Produits localement, les protéagineux (pois, féverole, lupin) ou les tourteaux de colza, tournesol ou soja permettent d'équilibrer les rations des troupeaux en protégeant la souveraineté aliment...
Consultez ce dossier
Mutualisation et relocalisation
Mutualiser ses moyens de production permet de réduire les coûts et partager les connaissances. En s'approvisionnant localement en matières végétales riches en protéines, les élevages français contribuent au développement de la souveraineté nationale.
Consultez ce dossier